Examen critique du film sur les sens de 'C'est pas sorcier', la partie du goût

(de Eric Oullereau)

Critic examination of the movie about the senses of 'C'est pas sorcier', part of the taste


 

Cet article va illustrer l'idée que le diplôme est l'ennemi mortel de la culture, pour la neurologie vis à vis du cerveau, des 5 sens humains

Propos du neurobiologiste Patrick Mac Leod interviewé dans le film

examen critique de ses propos, une arnaque à but commercial

Le neurobiologiste Patric Mac Leod,

de l'Ecole supérieure de hautes études

déclare dans son interview dans le film :

"100% des jeunes mammifères nouveau nés aiment le goût sucré.

Vous pouvez déjà voir avec l'article précédent que ses propos sont vraiment superficiels, trop généraux. Ainsi comme disent des spécialistes en communication, cela tue la communication.

Le mot sucré n'est pas un mot générique que l'on peut employer partout et ayant le même sens.

 Ici nous nous intéressons aux humains. Ce n'est pas n'importe quel mammifère.

 Il est frugivore, pas folivore, ni herbivore, ni rongeur, et n'a donc pas le même sens du goût. 

Son organisme a besoin de sucre de bons fruits en concentration assez élevée, plus que chez les autre mammifères, mais seulement dans du vivant, pas n'importe quel sucre.

La fourmi, par exemple, peut manger du sucre qui semblerait très sucré, mais ce n'est pas le même sucre. Il est corrompu, différent.

Pour le miel, c'est pareil, c'est un sucre cariogène pour l'humain, non fait pour l'humain. Et d'ailleurs on sent une certaine brûlure, déjà en en mangeant.

"L'enfant à qui on présente quelque chose de nouveau dit "J'aime pas ça" ".

Il ne précise rien sur ce qu'on lui propose.

Si ce sont des légumes verts fades par exemple . Dans ce cas ou un cas de fadeur ou d'amertume légère, l'enfant ainsi détecte un aliment qui n'est pas vraiment adapté pour lui, et pourrait même l'empoisonner (voir page ‘bons fruits et santé’ l’article pour éviter l'empoisonnement par la nourriture, et l'article pour prévenir des virus)

Il rajoute alors que si on lui fait plaisir, ce qu'il mangera dans l'instant d'après sera associé au plaisir, et il aimera.

Il veut dire que le goût s'éduque. Cela s'apprendrait.

Il y aurait une "culture", un apprentissage du goût.

Quand l'enfant n'a rien d'autre à manger, qu'il commence à avoir faim, et qu'on lui détourne son attention, le cerveau est occupé par la réflexion ou le sens stimulé, l'information que va donner le sens du goût ne sera que peu traitée par le cerveau car il est occupé ailleurs.

 L'enfant apprend à avaler sans faire attention à ce qu'il avale, à accepter ce qui est un peu hostile pour le goût.

Et donc ce qui est très grave, à s'empoisonner facilement.

On peut donc parler ici de risque mortel.

Nous avons donc que le diplôme de neurologue qui ne donne pas cette connaissance de base est l'ennemi mortel de la culture.

 

J'avais lu un article dans le nouvel observateur sur Alzheimer, en lien avec cette idée de mépris du goût par le neurologue.

Le neurologue qui s'occupait d'un patient légèrement atteint d'Alzheimer, fumait le cigare et buvait du cognac avec lui, chez lui, car son patient était "très cultivé". Ce dernier avait autrefois une mémoire "scandaleuse".

Ils se sont empoisonné avec le cigare et le cognac. Et quelques années après, il était devenu dans un état végétatif.

Alors qu'il est bien connu qu'il faut éviter l'alcool et la fumée, le neurologue l'encourageait dans cette marche arrière.

 Mais l'article n'avait fait absolument aucune critique sur le neurologue buvant du cognac et fumant le cigare avec son patient, l'encourageant ainsi dans le vice.

Vous pouvez voir des informations complémentaires sur Alzheimer à la page principale de cette partie 5 sens intelligence communication langue'  l'article 1. professionnels diplômés travaillant dans ces domaines et leur orientation économique qui fait que leur diplôme est l'"ennemi mortel de la culture". D'autres articles à ce sujet seront ajoutés, aussi.

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