la musique, ennemie du vrai plaisir conjugal

(de Eric Oullereau)

Music, enemy of real conjugal pleasure


 

Voyez un peu comment la musique a des conséquences détestables sur le plaisir conjugal:

 

exécutif naturel comparé au système de la police étatique qui arrête les malfaiteurs et des punitions juridiques

 

Voici une structure pour montrer la punition naturelle (l'exécutif naturel) à des contrevenants, des hors-la-loi, que j'ai montré à un responsable de poste au commissariat d'une ville assez importante en zone tropicale :

 

femme

bonobo femelle

chimpanzé femelle

éléphante

chienne

oiseau femelle

 insecte femelle

vraiment beaucoup de mémoire

beaucoup de mémoire

beaucoup de mémoire (moins que le bonobo)

mémoire énorme

petite mémoire

très petite mémoire

pas de mémoire

2 seins en hauteur  et plus gros que ceux de la femelle bonobo, s'ils sont bien caressés par le conjoint

2 mamelles en hauteur et un peu plus grosses que celles du chimpanzé

2 mamelles en hauteur et assez larges

2 mamelles en hauteur

tétines en bas

pas de tétine

pas de tétine

pas de bruit

pas de bruit

~pas de bruit, (mais un peu plus nerveux que le bonobo)

pas de bruit

aboie facilement

chante, voire un peu de bruit ("musique")

fait de la musique

ne boit pas d'alcool

ne boit pas d'alcool

ne boit pas d'alcool

ne boit pas d'alcool

boit de l'alcool

boit de l'alcool

boit de l'alcool

pas brillant

pas brillant

pas brillant

pas brillant

yeux brillants

un peu brillant

brillant

 

Ainsi, par cette comparaison structurée, avec différents critères on peut comprendre que l'état normal pour l'humain, la femme humaine est :

- d'avoir de la mémoire,

- d'avoir des seins fermes plus gros que ceux des femelles des bonobos, et cela à condition qu'ils soient bien caressés par le conjoint

- de ne pas chanter, ni de faire de musique ou de bruit inutile

- de ne pas boire d'alcool

- de ne pas avoir de brillant sur soi (boucles d'oreilles ou autre) 

Et en exemple pratique, je parlais de Beyoncé Knowles et Mariah Carrey , chanteuses très célèbres aux U.S.A. qui faisaient tout le contraire.

Elles chantaient, avec de la musique, elles avaient du brillant sur elles, elles étaient riches, et bien faites, elles pouvaient avoir vraiment le choix du conjoint, et ne jouaient pas aux vierges qui n'aimaient pas la sexualité dans le couple.

Mais malgré cela, elles n'étaient que très peu caressées par le conjoint. La musique et les piercings semblaient de toute évidence castrateurs, car ces stars avaient des seins avec du silicone dedans, car sinon ils tombaient. Cela prouvait que leur conjoint ne les caressait pas beaucoup. Donc que la musique n'encourageait de toute évidence pas du tout dans ce sens. Sinon elles n'auraient pas eu les seins qui s'affaissent avec l'âge. Même à 40 ans les seins peuvent être bien fermes. Et même si à 20 ans ils étaient petits. Ils peuvent devenir gros et rester fermes. Là à même pas 25 ans Beyoncé avait déjà des seins avec du silicone dedans. 

 

Pour la majorité des personnes bruyantes avec leur musique, je parlais de cela et dans 4 cas sur 5 j'avais du succès. Ils arrêtaient d'avoir une musique forte.  

Pour certaines personnes bruyantes qui semblaient avoir un certain respect pour le cerveau, je parlais du lien entre le cerveau, l'alcool, le brillant et la musique.

 

Les gens en général comprenaient qu'il y avait une certaine police du corps, sans police du corps qui punissait de façon interne si on ne suivait pas certaines règles de bon sens, des lois du corps, (ou des lois écrites mais qui correspondaient à des lois du corps).

 

Ainsi j'ai donc montré cela à 2 chefs de poste de police pour les réconforter par le fait que même s'ils n'arrivaient pas à piéger tous ceux qui étaient hors-la-loi tous étaient déjà puni par une autre police, et aucun n'y échappait.

 

Ainsi ces stars avaient un plaisir conjugal très réduit, une véritable punition, à cause de cet amour de ce bruit débile qu'est la musique.

 

J'ai pensé à cette opposition quand j'ai découvert que le mot grec traduit par cythare, un instrument de musique, était en fait le mot thorax, qui pouvait aussi signifier la poitrine.

D'où cette association d'idée : quand une femme aime la musique, elle n'a pas de "thorax", comme un insecte qui fait de la musique n'a pas de sein.

Donc 2500 ans auparavant cette opposition était déjà repérée.