Littéraire et ou poète

littéraire et poète 2 métiers qui sont une arnaque totale, car les 2 disciplines sont des ennemies profondes du bon langage

literary, poet

literary, poet : total fake, 2 deep enemies of the accurate language and good education


(de Eric Oullereau)

 

"La haine de la littérature", tel est le titre d'un livre qui paraît en oct 2015 de William Marx donne des informations très intéressantes à ce sujet.

Il y a quelques jours, le ministre japonais de l'éducation nationale avait demandé aux universités du pays la fermeture de leurs départements de lettres, au profit d'enseignements "plus utiles à la société".

Cela va bien dans le sens de cette profonde détestation de la littérature.

Le livre précédemment cité parle de prétexte d'utilitarisme à courte vue, pour essayer de sauver la littérature. Mais on voit donc que cette haine de la littérature est bien là.

Pourquoi ?

 

Valéry Larbaud est cité, écrivain poète mort en 1958, disant "ce vice impuni, la lecture", avec ironie. On voit que cette personne se croit un peu avec la littérature le centre du monde de l'écrit, c'est une exagération totalement déplacée qui déjà montre que ces littéraires dénigrent les textes de la réalité, comme si les textes documentaires n'existaient pas . Donc cela donne idée du sectarisme de certains de ces littéraires. Il aurait du normalement déclarer s’il avait été honnête intellectuellement "ce vice impuni, la lecture de fables, de littérature, de roman, de poésie".

 

L'auteur William Marx écrit : " Nous vivrions dans un monde où la littérature a perdu presque tout pouvoir et toute autorité, coquille vide bonne à meubler les heures perdues d'une classe de plus en plus restreinte et accaparée par bien d'autres distractions".

des lois de Platon justifie l'expulsion des poètes loin de la cité idéale. Le sociologue critique aussi la littérature "discours illégitime par excellence" car manière de conforter les inégalités sociales.

Ce catalogue des vices et défauts attribués à ceux qui "créent de nouveaux univers, de nouvelles cités, renomment le réel, le transforment, l'abolissent" une idée de la littérature. Les poètes et romanciers éternels résistants, des défenseurs marginaux d'un art sans foi ni loi, d'une pratique qui ne saurait recevoir de définition stable et positive."

D'où cela rejoint l'idée que l'art dont la littérature puisse être associée à une forme de nazisme selon Luc Ferry. Si ce n'est pas pire.

 

"L'écrivain est partout méprisé, sous tous les régimes, ou bien considéré comme dangereux, ou bien dénoncé comme serviteur aveugle d'un système condamnable.""

Quand on voit Jean d'Ormesson de l'Académie Française avec son positivisme pour le système destructeur occidental on a une illustration de cette servilité d'un système condamnable.

La suite du texte de "Marianne" qui parle de ce livre dit : "Voilà pour ceux qui penseraient que la littérature peut trouver sa place dans nos débats d'idées : le lettré ne sera jamais écouté, il restera un parasite, ...Ce qui est refusé à la littérature (le bien, la vérité, l'autorité, etc.) la conduit à investir la forme et le style."

La poésie par exemple est une forme lourde d'écriture qui s'attache plus au son qu'au sens et induit le mépris du sens pour ne s'intéresser qu'à certaines règles arbitraires superficielles d'organisation des mots.

Cette gymnastique mentale est nuisible au cerveau humain car il ne doit pas penser au sens mais à une certaine superficialité dans les assemblages de mots.

Le cerveau humain marche par habitudes et là il devrait laisser une habitude et ne pas chercher à la perfectionner pour une autre.

On voit la réduction cérébrale des intellectuels qui en lisant un texte ne pensent qu'à lire au second degré.

Ils ne peuvent plus lire directement.

Par exemple, dans une annonce sentimentale d'un magazine bio, il était écrit qu'un homme recherchait une femme" sans artifice". Sur la dizaine de femmes qui avaient répondu, aucune n'avait compris que "sans artifice" voulait dire au moins sans maquillage et sans boucles d'oreilles par exemple.

 

Ainsi, les mots, à cause des littéraires, perdraient toute leur valeur.

Et là par exemple on voit ce côté nazi déconnecté des sens, avec l'attirail de barbare cruel Ninivite avec des boucles d'oreilles et ces femmes brutes sans s'en rendre compte non dérangées par cela.

Qui pourrait en douter en voyant que les académiciens gardiens de la littérature française ont un costume avec une longue épée ?

Et quand on entend une prix Nobel de littérature déclarer dans un documentaire que le vin est un des plaisirs de la vie alors que cela corrompt tout de suite le corps, n'est-ce pas un propos digne d'une profonde barbarie perverse ?

Nous n'entendons pas les propos d'une "racaille" de banlieue mais d'une femme académicienne, avec évidemment un certain âge. détestable modèle pour la jeunesse.

Je pense aussi de façon plus rapprochée à une chercheuse en littérature, en poésie qui a adopté un enfant et qui le force à faire de la musique plusieurs fois par semaine. L'enfant n'aime pas, elle pleure.

La mère est une tyrannique qui s'ignore. Une profonde dictatrice, et là qui se révèle sans conversation, car justement de promouvoir la musique est un moyen de dissimuler qu'on n'a pas de conversation. Dans le gratuit "Direct Matin" il était parlé de la sortie d'un livre d'une femme qui avait subi l'esclave de la musique étant jeune, depuis l'âge de 4 ans, et on voyait la photographie d'une petite fille assise devant un piano, de dos en train d'essayer de jouer.

Image d'esclavagisme abject, pire que dans le livre "Les misérables" de Victor Hugo, une maltraitance envers leur enfant de familles riches ou se croyant intelligentes, plus "évoluées" que le "bas peuple", mais devenant pire.

Le grave inconvénient aussi, en cas de problème, c'est qu'on est plus enclin à utiliser des moyens brutaux.

Et justement pour son autre enfant, plus jeune, il joue avec une épée en plastique.

Non, ce n'est pas un délinquant, pourrait-on dire, il travaille bien à l'école. Mais n'est-ce pas justement un anti-modèle à ne pas imiter, et plus pervers, car il travaillerait "bien" à l'école ?

Enfin on penser à l'idée populaire qui dit que l'école est là pour former "la chair à canon de la république". Et là ce serait une parfaite illustration.

Ainsi quand on voit toutes ces horreurs comme "Assassin's creed syndicate" avec des haches profondément abjectes, et sans discontinuer, en publicité,dans les transports en commun,(comme je n'ai pas la télévision, je ne peux échapper à celle-là) un nouveau film guerrier dont par exemple le dernier visible "Le dernier chasseur de sorcières" avec un homme au crane rasé comme un militaire et une épée ainsi qu'un long révolver, on peut penser que les littéraires en général n'y voient pas d'inconvénient.

 

L'auteur cite l'ex-président qui aurait dit dans un meeting avant son élection, ceci en meeting politique : "L'autre jour, je m'amusais - on s'amuse comme on peut - à regarder le programme du concours d'attaché d'administration. Un sadique ou un imbécile - choisissez - avait mis dans le programme d'interroger les concurrents sur la princesse de Clèves. je ne sais pas si cela vous est souvent arrivé de demander à la guichetière ce qu'elle pensait de la Princesses de Clèves ? Imaginez un peu le spectacle." Et d'en tirer la leçon qu'il faudrait fonder le recrutement et la promotion des fonctionnaires sur l'expérience et le mérite plutôt que sur le bachotage de vaines questions de culture générale.

Quelques mois plus tard, il l'avait formulé ainsi : "Je regardais l'autre jour quelque chose de passionnant : le programme pour passer de rédacteur à attaché principal. Figurez-vous qu'il y a un sadique qui avait mis une question dans le programme demandant si le candidat avait lu la Princesse de Clèves !...Mettez-vous à la place de cette femme ou de cet homme de 40 ans qui travaille, qui a une famille et qui doit en plus préparer des examens pour passer au grade supérieur, imaginez-vous qu'il en ait le temps ? ". L'auteur conclut : "le temps n'est pas loin où la lecture obligatoire des chef-d'oeuvres sera bannie par les conventions internationales comme traitement inhumain et dégradant."

L'auteur manque profondément de neutralité et d'argumentation dans sa phrase. Il parle de chef-d'oeuvres, sans aucun argument, juste pour essayer de faire passer les conventions internationales pour folles sur ce point. Cela peut justement servir aussi de publicité pour cet ex-président et qui cherchait encore à l'être.

J'ai plutôt une critique dans le sens inverse vis-à-vis de cette critique sur cette littérature. Je trouve que ce président était vraiment léger dans sa critique sur la littérature, sa place.

S'il pensait à la critiquer, pourquoi le faire juste hypocritement, du bout des lèvres, avec juste quelques mots qui semblent un peu forts mais sans structure derrière et une logique plus poussée ?

Il aurait pu aussi réduire les textes littéraires au lycée, qui débilisent les jeunes et après le bac ne savent dans leur immense majorité quasiment pas argumenter.

 

Et aussi, par exemple, le résumé de texte a été supprimé à l'épreuve du bac de français il y a peut-être 20 ans alors que c'était au moins une compétence vraiment utile pour l'individu, une base capitale. Mais il n'y en avait aucune mention, et quand il a été président il n'a absolument rien fait dans ce sens.

Donc on a reculé pour la réflexion à cause de la littérature. Le littéraire est donc bien un ennemi mortel de la compréhension véritable de la langue, en paraphrasant la phrase célèbre de Paul valery qui disait que le diplôme est l'ennemi mortel de la culture.

Combien de jeunes en sortant avec le bac ne sont-ils pas dégoûtés du français, en tant que matière, vu comme un exercice de caprice stupide, déconnecté de la réalité.

Et surtout sans aucune douceur, où l'on n'apprend rien sur la vie, mais à se renfermer dans un certain autisme, un imaginaire, une bulle qui nous isole du monde extérieur.

La littérature, surtout pour promouvoir "notre culture", est aussi loin du monde qui dépasse "notre" pays de façon plus large, elle se focalise surtout sur des les textes de discussions superficielles entre humains, mais pas pour de la connaissance sur le reste, ce qui existe en tant que création et aussi qui est agréable à nous.

Dans l'article il était cité quelques phrases d'auteurs contre la littérature :

 

Platon : "Quand les expressions des poètes sont dépouillées des colorations de la musique, et qu'elles sont énoncées en elles-mêmes, pour elles-mêmes, [...] elles ressemblent aux visages de ceux qui ont l'éclat de la jeunesse, mais qui sont sans beauté, tels qu'on finit par les voir lorsque leur fleur les a quittés.".

 Critique assez mauvaise, car le le vrai reproche de fond sur la littérature c'est d'être déconnectée de la réalité tout comme la musique , d'être de l'art, de l'incitation à l'inutile, et donc pas agréable véritablement à l'humain.

 

François de Malherbe : "un bon poète n'est pas plus utile à l'Etat qu'un bon joueur de quilles."

 

Jean-Jaques Rousseau : "Je hais les livre; ils n'apprennent qu'à parler de ce qu'on ne sait pas."

 

Ernest Renan : "Le temps viendra où l'art sera une chose du passé, une création faite une fois pour toutes, création des âges non réfléchis, qu'on adorera, tout en reconnaissant qu'il n'y a plus rien à en faire. La sculpture, l'architecture et la poésie grecques sont déjà dans ce cas."

C'est ainsi considéré comme une chose morte, non vivante. "qu'on adorera" :

C'est lui qui le dit, je crois plutôt qu'on pourra ainsi l'oublier définitivement, ou presque.

 

Emmanuel Kant : "Cet exercice dans l'art de tuer le temps [lire des romans] et de se rendre inutile au monde (ce qui n'empêche pas après coup de se plaindre de la brièveté de la vie) est, sans parler de l'humeur imaginative qu'il provoque, une des attaques les plus nuisibles qui se puissent infliger à la mémoire."

Ainsi, on détruirait notre cerveau.

 

D'ailleurs dans cet ordre d'idée, pour faire la promotion d'internet, un argument, est l'étude comparative de la stimulation du cerveau entre lire un roman et surfer sur internet.

On a conscience que surfer sur internet ne rend guère intelligent. On devient superficiel.

Et justement selon ces études comparatives le cerveau serait plus stimulé avec le surfing sur internet qu'avec ...la lecture d'un roman.

Il y aura toujours des irréductibles qui penseront qu'un roman est très stimulant pour le cerveau et donc que... le surfing sur internet serait alors ...encore mieux. Donc internet a encore de beaux jours devant lui seulement grâce à cela par exemple.

 

Enfin dans la pratique, on peut penser à l'ancien maire de Fort-de-France, Aimé Césaré poète très renommé soi-disant "anticolonialiste résolu", gros mensonge de Wikipédia, pour voir sa complicité avec le système destructeur occidental, colonialiste.

Les Antilles sont réputées pour l'empoisonnement des terres (au moins au nord de la Martinique) par le chlorodécone un pesticide très nocif avec molécules très grosses et très difficilement dégradable.

Qu'a-t-il fait face à cela ? A-t-il averti la population que c'était très nocif ?

J'ai interrogé des Antillais. Ils ont été négatifs. Ils le considéraient comme un parfait complice de ce système destructeur.

Il était pour la promotion de la "négritude" selon ses mots, donc d'essayer d'isoler les "noirs" comme différents des autres, une forme de racisme en fait, de les ghettoïser si l'on peut employer ce mot, et restait dans l'imaginaire, justement un gros reproche que certains font aux noirs antillais. Soit des travaillistes pollueurs soit des passifs. Il n'a pas du tout fait la promotion des bons fruits de bonnes cultures locales, de "noirs" antillais intelligents, mais du mépris de la culture au 1er sens du terme, du sol,

voulant ne pas ressembler à un grand singe,

mais pour essayer d'être moins qu'un bonobo, qui lui au moins ne n'intéresse absolument pas à tout ce qui est la folie de l'art, de la littérature et de la poésie, et fuit les produits chimiques.

Et maintenant les Antilles sont réputées avec le plus de violence, plus qu'à Marseille pour la police, à cause de ce mépris de la culture du sol correcte, pour la perversion colonialiste de l'art dans toutes ses variantes avec ainsi tout son mépris pour l'être humain. C'est typique du colonialisme, brute, vraiment à l'opposé de la douceur.

 

Un indice visible : ils sont réputés être des "chauds lapins". Justement les lapins sont des rongeurs qui sont un peu brutes pour la sexualité et font des enfants très facilement sans réfléchir. Quant à la chaleur du lapin, elle est vraiment assez glaciale. J'avais interrogé une Antillaise récemment. Je lui avais dit que les seins pouvaient gonfler s'ils étaient bien caressés. Elle m'avait répondu qu'aux Antilles, on ne ... croyait pas à cela. Les lapines n'ont pas de seins, juste des tétines.

=> C.Q.F.D. : mépris du bon couple => augmentation de la violence.

Vous pouvez voir la page suivante pour des informations complémentaires à ce sujet.

exécutif naturel vs système de la police étatique et des punitions juridiques

 

Un autre point qui montre l'anti-réflexion chez le littéraire : sa recherche de dualité. Alors que la réalité est plutôt quaternaire.

Et les questions en philosophie sont souvent binaires. Par exemple dans le dossier de septembre de "philosophie magazine" on voit la question binaire "pense-t-on mieux seul ou à plusieurs ?". Il n'est pas du tout présenté de vue plus large, en parlant des personnes. Par exemple en détaillant : seul, en couple, ou à 2 ou à plusieurs. Sans oublier évidemment des facteurs énormes comme penser à examiner la vraie création.

Avec seulement une comparaison binaire manichéenne, qui tronque les véritables choix, cela confirme une fois de plus les propos de Voltaire qui disait que la philosophie ce n'est que du galimatias. Là on fait la confusion entre 4 cas en les ramenant à 2.

On a ainsi une pensée confuse, mélangée, car on a mélangé des cas.

De plus la comparaison manichéenne est un élément de ceux les plus persécutés.

Les littéraires et poètes sont une catégorie qui inaugure, comme locataire, les premiers, avec les journalistes, les camps de concentrations ou les goulags les prisons en cas de régime dictatorial.

La comparaison binaire est aussi justement l'élément de base de petite réflexion des commerciaux. Ils aiment les comparaisons binaires biaisées sans bon choix qui font que l'on peut être tenté par choisir ce qu'ils proposent vu qu'on n'aurait pas de bon choix.

Ainsi cette dialectique binaire est bien dans la lignée du système commercial corrompu qui n'aime pas nous faire bien réfléchir et pour nous endormir, essaye de nous donner l'illusion que nous avons bien réfléchi.

 

Et sur le fond les littéraires, poètes, qui ont été emprisonné avaient méprisé le naturel.

Ils aimaient le béton. Ils avaient le culte d'ancêtres. Ils avaient du béton.

 

Alors que celui qui aime un bon verger en zone chaude et humide, sans construction, ne risquera pas d'être enfermé dans une prison (ou tué) vu qu'il veut vraiment vivre, même sous régime dictatorial.

Et justement il aime les comparaisons quaternaires.

 

Mon site (et ceux en annexe) est ainsi rempli de comparaisons quaternaires donc démasquer les petites ruses du système commercial et sortir de la fausse comparaison tronquée entre l'écologie et le système industriel par exemple.

pages complémentaires sur la vue critique de l'intelligence collective : une pure arnaque, folie sectaire, que pour du robotique

 intelligence individuelle : bon sens , comparée à l'invention de l'"intelligence collective"


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