Mathématicien (chercheur ou professeur) : pour la guerre, et produire la chair à canon de la république

(de Eric Oullereau)

 

"Math" veut dire mort en hébreu/araméen , cela veut tout dire...

 

Ce n'est pas un ignorant en mathématiques, fâché avec, qui écrit pour essayer de gommer son ignorance sur ce domaine, mais quelqu'un qui a fait des mathématiques jusqu'en licence en France.

A l'école j'étais le 1er en mathématiques, au moins à l'oral pour poser des questions, jusqu'en 2nde/1ere en section E (équivalente à C, la section S actuelle),

pas tout à fait à l'écrit car je ne travaillais quasiment jamais à la maison. Et en terminale j'étais dans le peloton de tête,

(mais le 1er pour la participation à l'oral en physique. Cela me semblait plus concret).

A partir de la 6ème (à 11 ans, la 1ere année au collège), je trouvais les mathématiques bizarres déconnectées de la réalité, avec des représentations graphiques de droites, pas visuelles concrètes.

De la géométrie.

L'algèbre avec des inconnues a, b, c, me semblait aussi bizarre.

 

En DEUG de mathématiques physiques, officiellement sur mon diplôme, j'ai été surpris de voir que j'avais un "DEUG des sciences et structures de la matière" car je n'avais pas entendu parler de ces mots, me semblait-il. C'était l'horreur de la débilité, de l'abstraction. La physique que j'aimais bien jusqu'en terminale était devenue comme les math, totalement abstraite.

J'avais à cette époque un petit sentiment d'infériorité car je n'avais pas été admis en Math SUP, le top pour les mathématiques te la physique. Les mathématiques m'avaient posé un problème, pour pouvoir y être admis.

Je comparais des personnes qui avaient fait Math SUP et des universitaires pas moins forts qu'en en math.

J'avais remarqué que le meilleur ne DEUG était calme, pas nerveux. Et franchement je trouvais que nous étions pas spécialement nerveux dans l'ensemble.

Par contre en bibliothèque, je voyais des élèves qui n'avaient pas pu suivre le rythme de math SUP ou math SPE, qui se retrouvaient en DEUG et qui étaient souvent très nerveux. Ils avaient la détestable manie (mot qui veut dire folie) de tourner son stylo entre ses doigts pour réfléchir, habitude que je ne voyais pas chez les étudiants comme moi de DEUG.

 

La 1ere réaction de bon sens d'une personne externe aurait été de dire que ces élèves nerveux dysfonctionnent, sont en sous-efficience mentale pour réfléchir.

Seulement la fausse opposition qui me gênait pour penser cela était qu'ils étaient assez bons meilleurs que la moyenne d'entre nous. Mais moins quand même que le meilleur.

J'étais dans l'idée erronée que l'intelligence était rapide, assez instantanée. Dans l'erreur aussi. D'où je ne comprenais pas.

J'ai étudié la physique quantique en 2ème année. J'étais allergique à ce mot. On n'y comprenait rien. Franchement quelle utilité ?

 

C'est ensuite en donnant des cours particuliers de mathématique et d'autres matières que j'ai étudié comment fonctionnaient les meilleurs et me suis aperçu de beaucoup d'idées erronées.

 

Une règle de base était de visualiser ... d'où le mythe de l'abstraction caractéristique typique des mathématiques, et signe d'intelligence tombait à l'eau.

J'aidais ainsi les élèves à visualiser leur enseignement en mathématiques jusqu'en 3ème sur une bonne partie.

Au lycée, je pense toujours aux courbes de chute d'objet dont d'obus.

D'où maintenant mon idée que cela forme à être de la chair à canon de la république. A quoi cela sert-il sinon ? Je ne vois pas.

Il n'y avait que des lois primitives. 

J'entendais des critiques sur les mathématiques disant que c'était aride. Je ne comprenais pas comment bien l'expliquer. Je me sentais un peu vide. Je voyais des gens avec soi-disant moins d'instruction que moi être un peu impressionnés par les mathématiques, par ignorance.

En étudiant plus tard la création animale et végétale je me suis aperçu que les mathématiques étaient vraiment très rudimentaires et cela expliquait qu'on puisse être autiste (aspergen) et bon en mathématiques.

Buffon ex-mathématicien, puis grand naturaliste, disait que la création animale et végétale étaient beaucoup plus complexes que les mathématiques.

 

Dans des salons bio je vois des gens en admiration devant les mots physique quantique alors qu'ils n'y connaissent rien. C'est en fait un culte purement superstitieux, pour la fausse idée du vibratoire, nous serions des créatures vibratoires.

Ces personnes sont ignorantes de la création complexe animale et végétale, juste connaisseuses d'un peu sur la création inférieure animale et végétale .

 

En fait les mathématiques ne servent qu'à des fabrications véritablement, et le début de la guerre est d'avoir un outil, une fabrication.

Même un outil agricole peut être considéré et utilisé comme une arme.

Au contraire, pour la paix, il faut avoir une organisation sans outil, ce qui demande de rejeter au maximum le besoin de mathématiques.

 

Voyez le dessin au tout début de la page : aucun outil en vue.

 

Mathematician (researcher or teacher) : for war, and produce the cannon fodder of the republic


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