Human with good culture of soil superior to bonobo or chimpanzee , superior to human with customs :

 

human cultivating a good orchard,

 without earring and without music

a bonobo do not cultivate by itself soil, and dislike earrings, music,...

human with custom of earrings, or earring music => less than bonobo or chimpanzee, custom, cruel, polluting, and hateful to see


bonne culture > comme un bonobo > culture au sens figuré : coutumes

 

Culture : explication sur les compréhensions antagonistes :

 

- la culture du sol correcte qui décompacte le sol et donc bonne pour l'environnement

- et celle au sens figuré secondaire

ainsi que la très mauvaise culture du sol

qui compactent le sol et sont mauvaises pour l'environnement :

 

INTELLIGENCE de l'HOMME par rapport au BONOBO animal le plus intelligent de tous, et du chimpanzé très proche (selon Eric Oullereau)

loin ainsi des "chimpanzé du futur" expression bizarre d'un "transhumaniste"

 

 

plus qu'un BONOBO

direction NATURELLE

comme un BONOBO à l'état SAUVAGE

(cru : indigeste en latin)

moins qu'un BONOBO

SAUVAGE INDUSTRIEL

vues divergentes du mot culture, opposées

Prévoir pour soi (et sa femme, si marié) et réaliser une bonne culture de verger sain pour faire extraire de la terre, par le verger, des minéraux

et les faire s'assembler correctement dans des fruits sains bien construits avec couleur douce, attirante un bon arôme et doux au toucher, adaptés à l'humain (et au bonobo) pour un bon assemblage dans le corps,

à condition d'être mangés mûrs à point, frais (sans tarder) et le plus longtemps possible dans l'année.

Le bonobo est capable seulement de choisir la meilleure nourriture disponible pour lui dans son environnement immédiat. Un bonobo, comme un éléphant, comme un humain, ne s'empoisonnera jamais s'il a le choix pour sa nourriture et se fiera à ses sens.

Les seuls cas d'empoisonnement ou de choix du mauvais, alcool, drogue ?) c'est quand la nourriture est médiocre. C'est le péché de gourmandise car les fruits corrects, bien sains, provoquent la satisfaction, la satiété.

Quand le bonobo utilise un outil (et seulement primaire) c'est que sa nourriture est mauvaise

=> ce n'est pas un progrès.

Extraire et compacter des minéraux (faire circuler des brouettes de minéraux bruts ou les faire circuler dans des tuyaux, outillage complexe, et faire toute une (al)chimie, le tout un esclavage polluant,

et les porter sur soi ou avoir sa femme en porter :

bracelets, colliers, bagues, ... (bijoux, art)

et pire : à travers le corps (piercings).

C'est antagoniste avec la direction naturelle.

quelques explications

+ autres oppositions

 

Le bonobo n'est pas capable d'anticiper dans l'avenir pour la future cueillette, le moment, ni de placer dans l'espace les différentes espèces fruitières et leurs associations entre arbres fruitiers.

Tout comme l'éléphant, il a plus de mémoire que l'humain sur un point, plus précisément, il mémorisera plus rapidement et plus longtemps la position des arbres fruitiers à visiter mais il est incapable d'installer la disposition.

Pourtant il veut cette bonne nourriture, il a le même estomac que nous.

Il ne sait pas non plus quoi planter, quand il faut et où il faut pour améliorer les variétés, et qui seront, pour indication, de plus en plus fragiles à l'exportation même locale: la banane rose rouge à peau fine, la mangue plus fragile, l'avocat rouge pourpre à peau fine,...

Cela demande d'être dans une zone assez chaude et humide pour ces fruits et avoir un bon herbivore pour ses fèces fertilisantes, de qualité, et répulsives pour les insectes.

Avec l'éléphant d'Afrique, le meilleur, on peut arriver à 0 outil en culture.

Et si beaucoup la font, la zone chaude et humide, régulée, augmentera, "climatisation" sur le jour et sur l'année.

Le bonobo est capable (après apprentissage) d'aller au supermarché, de faire des courses avec une liste simplifiée, et de payer par carte bleue, en faisant le code secret.

Là, il n'y aurait que des richesses - poison, pauvre, en hébreu/araméen - marchandes" obtenues obtenues avec du "pouvoir d'achat" (pour hacher - détruire la nourriture, écrasée à cause de tout le système d'exportation, vil (ci vil, civilisé - civilisation)

Les fruits exportés sont obligatoirement mauvais :

- car les variétés et les espèces fruitières sont obligatoirement inférieures à celles améliorées pour soi dans son verger et certaines de ces premières correspondants justement à des variétés sauvages (noix de coco avec cocotier intaillable,...)

- et soit un peu verts donc toxiques au bonobo et à l'humain, un peu indigestes (mais convenables pour des singes inférieurs)

- soit un peu pourris, moisis, donc aussi toxiques au bonobo et à l'humain

- soit secs, donc asséchants, allergisants pour le bonobo et l'humain.

Ainsi l'homme n'est pas supérieur à lui, avec sa carte bancaire.

Encore plus insensé, plus à l'opposé : fabriquer des aiguilles et des seringues avec ces minéraux compactés
- pour injecter de la moisissure dans le corps (antibiotiques et qui donneront des champignons dans le corps, des mycoses)
-pour injecter du pus, avec souvent des métaux lourds toxiques et des produits toxiques, dans le corps (vaccins et qui donneront des pustules, des abcès dans le corps) (de la saleté dans une seringue et qui pique),

alors que ce sont les bons fruits qui guérissent ( ou, plus médiocrement, des légumes, des plantes et des fruits inférieurs) et le bonobo les utilisera automatiquement s'ils sont à sa disposition, telles les mûres tropicales pour chasser les vers, et d'autres pour se guérir d'une fièvre, d'un "virus", ou maladie.

A l'opposé par rapport au naturel pour la culture fruitière, il y a les régressions de variété pour l'exportation et modifiées génétiquement (O.G.M.) c'est-à-dire avec ajout par billes projetées d'antibiotiques, ( dans tous les cas servant pour l'identification) et d'une partie réputée nuisible, sans oublier que ces variétés sont nourries aux engrais chimiques nuisibles à sa bonne construction, et au sol

=> même sans insecticide, détruit le sol, diminue la "climatisation".

D'où ici, l'homme utilise encore moins bien son cerveau que le bonobo.