l'intérêt de voir les bons modèles d'abord

Le pédagogue Antoine de La Garanderie préférait étudier comment faisaient les meilleurs en classe ou dans leur profession plutôt que d'essayer de voir les raisons des échecs des autres, en 1er.

J'ai vu à l'école Normale des des élèves instituteurs qui voulaient voir les gros problèmes directement sans étudier les modèles.

Mais déjà ils n'avaient pas une bonne mémoire et ne cherchaient pas à la travailler.

Et aussi, ils ne comprenaient pas que les solutions qu'ils pouvaient lire étaient dans le meilleur des cas moyennes, édulcorées, ou dans d'autres cas, à l'encontre du bon sens.

 L'intérêt de voir les bons modèles d'abord est de voir des pratiques avec un ensemble de solutions structuré.

C'est beaucoup plus rapide à étudier.

Ainsi, ensuite, en étudiant des cas difficiles, on a de la matière pour la comparaison et faire ainsi une déduction dans le bon sens.

C'est pourquoi j'ai pu aider des parents dont l'enfant était autiste, suivi en hôpital de jour. Il avait 4 ans, mais considéré par les psychologue avec 2 ans d'âge mental.

 Le père était un jeune pharmacien. J'ai donc donné des cours au parent en montrant devant lui comment aider l'enfant à se concentrer un peu plus.

 C'était un enfant qui allait dans tous les sens.

Il fallait être vraiment convaincu de la direction à suivre. Et aussi savoir simplifier au maximum, l'exercice d'observation, pour pouvoir l'encourager à continuer.

Je savais ce principe capital, qu'on n'apprend pas à l'Education Nationale : les bons ne se croient pas des surdoués, ils prennent leur temps pour bien observer.

Donc j'ai essayé de l'appliquer. J'ai donné quelques cours et le parent a pu voir comment continuer, il y avait quelques progrès.