le vrai pouvoir par rapport à un membre de sa maisonnée : explication avec la responsable de l'observatoire de la violence aux
femmes /
the real power with regard to a member of its household : explaination with the person in charge of the observatory
center of the violence to the women
Le 2 mai 2012, j'ai vu, après avoir
pris rendez-vous, la responsable de l'observatoire de la violence aux femmes, à Bobigny, le département où il y a le plus de violence aux femmes ( près de chez moi ).
J'étais très curieux en moi-même
d'entendre une soi-disant spécialiste de l'observatoire de la violence aux femmes avec sur elle-même des boucles d'oreilles et voir comment elle raisonnait.
Je lui ai demandé qu'elle m'explique
au début ce qu'elle faisait.
Elle parlait trop vite. Je lui ai dit
de ralentir le débit.
Elle avait une formation
d'institutrice et une expérience d'institutrice ainsi que de directrice d'école.
Puis elle avait suivi une formation en
psychologie. Après un temps d'exercice, elle est venue à cet observatoire.
Elle avait une brochure sur les
humiliations faites aux femmes.
Elle n'avait pas appris que parler
très vite pour expliquer était une technique d'humiliation de son conjoint ou de collègue, d'employé,...
Mais ainsi on n'avait pas de réel
pouvoir sur la personne car elle n'avait pas eu le temps de bien assimiler ce qui était dit.
Je lui avait dit que les surdoués
écoutent lentement. Elle m'avait dit que je n'étais pas un enfant. Je lui avais répondu que je n'étais pas plus fort qu'eux.
Je lui ai dit aussi que la vue pouvait
s'améliorer,il fallait entre autre prendre un temps pour bien visualiser, aller tranquillement. J'avais ainsi aidé ma mère de plus de 80 ans à améliorer sa vue de près et de loin. Il fallait
qu'elle soit détendue. C'est cela le vrai pouvoir. Cela ne pouvait pas se faire par la violence, mais dans de bonnes conditions.
Il fallait juste au départ qu'elle
soit d'accord pour essayer. J'avais dit à ma mère que je l'acceptais à la maison si elle acceptait d'essayer d'améliorer sa vue, comme elle avait d'autres enfants. Elle était
d'accord.
Ensuite, la bonne volonté des 2 côté
ne suffisait pas, il fallait du savoir-faire, savoir expliquer de façon adaptée, avec tout le cadre nécessaire : pas de soucis, qu'elle soit donc rassurée, pas de douleur gênante, perturbant la
détente, bien nourrie, par exemple.
On n'apprend évidemment pas ni à l'
Ecole Normale (d'instituteurs) ni en formation en psychologie cela.
Elle avait des
lunettes.
Je lui avais dit aussi que j'avais
amélioré ma vue ( vous pouvez voir des repères pour cela à la sous-page sur la vue.)
Elle a compris que j'avais de
l'expérience en la matière.
Elle a ainsi ralenti son débit, malgré
le temps très court dont nous disposions. Nous avions environ 15 mn.
J'avais demandé au départ le temps
dont nous disposions pour ainsi m'adapter dans notre échange.
A la fin de notre entretien, elle m'a
dit qu'elle avait appris des choses.
J'ai ensuite vu, plus tard, sa
photographie dans la revue du département, où elle ne portait plus de lunettes.
En conclusion, j'ai pris cet exemple
pour illustrer le fait que le psychologue dépend du pédagogue et de celui qui est modèle selon les 4 groupes "modèle/pédagogue/psychologue/sociologue" .
Cela demande beaucoup de travail et
pour une influence sur peu de personnes à la fois.
Ce n'est pas une pratique opportuniste
à laquelle on arrive du jour au lendemain, ni qui s'achète.
Il faut se "programmer" dans le bon
sens.
Il n'existe pas de lavage de cerveau
pour cela.
Savoir y arriver est une toute autre
affaire.
Mais c'est un objectif à atteindre. Et
ici, savoir parler lentement et travailler sa vue pour l'améliorer sont des compétences indispensables pour ceux voulant travailler dans la recherche pour un bon verger (tout comme pour éviter la
violence conjugale).
Il faut être capable de s'entendre et
d'apprendre ou d'échanger avec des chercheurs dans leur verger voisin pendant au moins 30 ans. Les mêmes pendant 30 ans.
(j'expliquerai un peu plus sur cette
compétence plus tard dans cette page et aussi dans la partie 'relation de couple' car l'objectif est le même, en plus poussé )
Donc, c'est vraiment une compétence
minimum.
Cela demande du travail pour acquérir
la base, et se travaille pour l'améliorer.
Cette compétence a l'air simple, de
bon sens, normale, mais demande d'emmagasiner des structures de pensée, de travailler sa mémorisation naturelle, qui est un travail passionnant, prenant du temps, loin de l'idée d'avoir
l'étincelle, et agréable à pratiquer.
Pour ainsi avoir une partie de vrai
pouvoir ( sur soi, son conjoint et ses quelques voisins de façon plus légère ).