Discussion avec un docteur en psychologie et sexologue sur la sexualité

(de Eric Oullereau)

A une conférence sur la sexualité positive fin septembre 2017, j'avais entendu la conférencière auteur d'un site sur la sexualité et docteur en psychologie et en sexualité dire des points très surprenants.

J'avais posé la question en question d'auditeur sur le lien entre éjaculation précoce et la fellation qui serait contraceptive.

Elle m'avait répondu qu'elle avait entendu parler de cela, mais qu'il y avait différentes écoles.

Elle enseignait à retarder l'éjaculation.

Elle avait dit aussi qu'avec l'éjaculation, il avait une période réfractaire d'où la fellation serait gênante.

Aussi j'avais été assez très déçu de sa réponse.

Elle avait aussi prôné de boire un peu d'alcool si on avait besoin de se détendre avant le rapport sexuel. La quantité : 1/2 bouteille à 2, à ne pas dépasser.

J'avais été assez choqué par cette promotion de l'alcool.

 

A la fin de la conférence j'avais attendu dans la liste des personnes qui voulaient lui parler et enfin je lui avais parlé de cette promotion de l'alcool.

Je m'étais présenté comme quelqu'un faisant une recherche sur le rajeunissement, pas seulement la guérison, et ainsi essayant d'aller à fond dans cette recherche.

Par exemple pour la rajeunissement il y avait 2 points, la nourriture et l'échange séminale entre conjoints.

On serait frugivore. Elle était d'accord avec ces 2 points.

Et j'avais précisé que cela n'était pas possible en France.

Je lui avais dit que tous le sites présentés sur Google pour frugivore, les 200 résultats, aucun ne donnait mon site, il n'apparaissait que pour la définition de frugivore en 30 ou 40ème position.

Elle avait été assez déçue de ce résultat des moteurs de recherche.

Elle était d'accord que la semence génitale du sexe opposé pouvait être bonne pour soi.

J'avais donc expliqué qu'en buvant de l'alcool, c'était gênant pour la semence génitale.

Elle avait reconnu cela.

Mais elle avait dit que c'était pour un autre but, se détendre avant.

 

J'avais parlé de sa remarque pour réponse à a question pendant la conférence. Elle avait parlé de période réfractaire.

J'avais alors dit que l'érection pouvait alors revenir assez rapidement au bout de 10 ou 20 mn. Elle était d'accord mais pas pour tout le monde.

J'avais dit que c'était bien de dire un bon objectif pour les meilleurs. Je m'intéressais au rajeunissement.

J'vais précisé que ceux avec éjaculation précoce avaient une bonne santé comme avait dit et que justement ils pouvaient avoir une autre érection assez rapidement. elle était ... au courant. Donc son contre argument tombait un peu à plat.

 

Par rapport à son conseil de boire un peu d'alcool, j'avais dit que j'avais sondé des gens, car 94% boiraient un verre de vin au moins dans l'année, leur disant que s'ils devaient faire 1 km en vélo chronométré ou un exercice de mémoire seraient prêts à boire ce petit verre de vin soi-disant leur plaisir.

Tous m'avaient répondu que non.

J'avais dit que le sang allait soit dans les parties génitales soit dans le cerveau soit dans les muscles. Elle le savait.

Si des personnes voulaient se détendre avant l'acte c'est qu'elles avaient un problème de communication. La cause. Elle était d'accord. 

Elles devraient donc apprendre à communiquer.

Consommer un peu d'alcool, ou prendre du cannabis ou écouter de la musique, une drogue aussi, tout cela pour soi-disant se détendre c'était éviter la cause profonde, le manque de communication. Elle était d'accord

La bonne utilisation du cerveau est un grand plaisir. j'avais parlé du nirvana de la bonne utilisation du cerveau, qu'on n'apprenait pas à utiliser le cerveau à l'école. je devais apprendre aux enfants à faire des rappels, travailler leur cerveau, 5 mn de réflexion sans bouger un peu comme la méditation mais là pour les souvenirs. Et cela détendait.

D'accord sur cela aussi.

 

Comme elle semblait d'accord avec moi, j'avais parlé de sa pratique. Son côté modèle.

J'avais demandé si elle buvait un peu d'alcool. Elle en buvait  pour raison sociale, avec des gens.

J'avais alors signalé que cela n'encourageait pas les gens à ne pas en boire. j'avais précisé que quand on buvait un peu d'alcool la conversation était alors plus limitée, superficielle. Elle était d'accord.

J'avais demandé si elle savait ce que voulait dire le mot social.

Elle l'ignorait.

Je lui avais dit que cela venait des lots sot et scié du corps, la sociologie étudiant les mouvements de masse sans tenir compte ni de logique ni des sens, déconnectés du corps. Elle semblait d'accord, surprise de ce sens. Je lui vais précisé alors que l'expression relations humaines avait été remplacé par relations sociales.

 

Elle m'avait dit aussi que c'était pour le plaisir.

je n'avais pas relevé l'idée, concentré dans ma question de savoir si elle abandonnait de conseiller cette corruption.

mais là c'était très grave, elle ne pouvait absolument pas le conseiller aux autres si elle trouvait que cela pouvait être à petite dose un plaisir, en plus de dire ce gros mensonge.

 

J'avais demandé si ainsi je l'avais convaincu de ne plus boire d'alcool en société.

Elle avait plutôt évité de répondre à cela. tout ce dont je me rappelle c'est qu'elle ne m'avait répondu qu'elle allait ne plus jamais boire de vin avec d'autres personnes.  

 

J'avais parlé de l'ignorance dans la formation de psychologue , qu'elle était un peu tronquée. elle était d'accord.

Elle s'était levé alors je m'étais levé sentant qu'elle voulait clore la discussion, me disant quelle me remerciait de cet échange.

Je lui avais dit que sur les 5 sens c'était tronqué. Le système occidental parlé des 2 sens la vue et l'ouïe mais oubliait les 3 sens majeurs. L'odorat serait perdu en 1er par les personnes Alzheimer.

Pour le fétichisme, par exemple, on ne parlerait que d'avoir beaucoup de piercing alors que cela commence avec un seul piercing. Elle était d'accord.

J'avais alors cité aussi le collier très fin qu'elle portait avec un bijou très brillant assez petit au milieu. Elle acquiesçait.

En conclusion elle me remerciait beaucoup pour cet échange d'une voix douce.

Et notre conversation s'était achevée là avec 2 autres personnes qui étaient arrivés et voulaient lui parler aussi.

 

En conclusion :

- j'ai vu que ma direction serait bonne, que beaucoup de points sont connus

- par contre pour faire changer d'abord sa pratique personnelle de la chercheuse en sexologie et en psychologie, je n'étais pas convaincu que j'aie apporté quelque chose, elle ne m'avait pas dit la fameuse phrase par exemple " je vais essayer de faire attention à cela" ~(ne plus boire d'alcool)

- quant aux conseils en conférence, qu'elle modifie ses propos tant sur le conseil de boire un peu d'alcool, ou sur la vue sur l'éjaculation précoce pas comme un problème mais un avantage, et de savoir l'utiliser ainsi, j'ai plutôt la certitude que ce ne sera jamais dit.

 

La conséquence de cette non compréhension du verre de vin de temps en temps nocif, c'est la preuve de sa superficialité dans la réflexion et la connaissance du cerveau.

par exemple, dans la conférence, elle n'avait pas eu froid aux yeux de dire critiquer le conseil de collègues chercheurs aussi en sexologie : ces derniers avaient démontré que les rapports sexuels étaient meilleur pour le cerveau que de faire des sudokus. Elle s'était permise de dire que l'on pouvait faire les 2, cela n'empêchait pas de faire des sudokus. Elle ignorait vraiment la nocivité du sudoku, et avait un certain vide sur la connaissance tant du cerveau que du corps humain : voir cette page 

Comparaison entre structure naturelle et grille artificielle avec l'application entre un de mes tableaux et une grille de sudoku

 

et d'ailleurs on le voyait aussi dans sa promotion d'utilisation d'objets pour éviter l'usure du couple. Une sorte de fétichisme, comme par exemple bander les yeux de son partenaire avec une cravate.

Ce qui est peut être assez dangereux.

Perdre le contrôle de la vue, ne plus être tout à fait maître de son corps.

 

Enfin ma recherche semble avoir tout son intérêt voyant le vide dans ce sens ailleurs, malgré que les idées de base soient connues.

Discussion with a Phd (director of research) in psychology,  sexologist about sexuality